[TEST] Shape of the World

Shape of the World

Shape of the world s’inscrit dans la lignée de titre comme Flower ou Journey. Difficile ici de parler réellement de jeu, nous parlerons plutôt ici d’une expérience. Point de scénario, peu d’objectif, le titre vous laisse vous ballader au gré de votre envie à travers des paysages qui se découvriront au fur et à mesure de votre avancée.

Shape of the World

Un gameplay ultra-simple

vous déplacer, sauter, lancer des graines (qu’il faudra au péalable récolter, plusieurs types sont disponibles)pour faire apparaitre des arbres et c’est tout. Shape of the world mise avant tout sur votre capacité à admirer et apprécier la direction artistique du titre. Le titre est volontairement épuré et propose tantôt des couleurs pastels ou légèrement psychéliques et un environnement low poly à base de formes géométriques simples. Les sons de nature ou les musiques calmes renforcent l’impression générale de zénitude qui se dégage du titre.

Plusieurs environnements seront disponibles pour peu que vous empruntiez des portes accessibles après avoir déclenché des mécanismes simples (le plus souvent activer 5 éléments) pour faire apparaitre des escaliers et ainsi vous permettre d’atteindre certaines hauteurs.

Shape of the World

Un jeu court et relaxant

Découvrir l’ensemble des environnements et les types de graines ne vous prendra qu’une poignée d’heures. Shape of the world devrait néanmois pouvoir encore vous surprendre après quelques runs d’autant plus que le titre permet de reprendre une partie à partir d’un environement précis.

Shape of the World

En conclusion
Shape of the World n'est pas un jeu à propement parler. Expérience contemplative et exploratoire, le titre s'adresse avant tout à une poignée de joueurs, ceux ayant apprécié des titres comme Flower ou encore Journey. Ceux là recevront une véritable invitation au voyage, les autres n'y verront ici qu'un ovni vidéoludique qui peinera à attirer leur attention.

SupportPS4, SwitchXbox One, PC  Développeur Hollow Tree Games – testé sur Switch à partir d’un code fourni par le développeur